L’Université de Sudbury avance : bâtir sur des fondements solides
20 avril 2021 - L’équipe de direction de l’Université de Sudbury et le Conseil des régents sont présentement à l’œuvre afin de jeter les fondements de sa nouvelle offre d’éducation universitaire en français dans la région du Moyen-Nord. Plusieurs actions sont en marche afin de faire progresser la création d’une institution universitaire gouvernée par, pour et avec les Franco-Ontariennes et les Franco-Ontariens.
Afin de mettre en œuvre la résolution adoptée à l’unanimité le 11 mars dernier pour amorcer le processus de transition, le Conseil des régents de l’Université de Sudbury a procédé à la mise sur pied d’un comité ad hoc pour la création de l’université de langue française.
Depuis, le comité ad hoc a retenu les services de la firme d’experts conseil PGF, qui se spécialise dans la gouvernance scolaire et postsecondaire, afin de dresser et formaliser un plan d’affaires. Ce plan sera un élément essentiel de la proposition que l’Université de Sudbury développera et soumettra au ministère des Collèges et Universités de l’Ontario afin de se transformer en université gouvernée par, pour et avec les Franco-Ontariennes et les Franco-Ontariens.
De plus, le comité ad hoc pour l’université de langue française a formé un groupe de travail en rassemblant des chefs de file de la communauté reconnus pour leur expertise et leur sagesse. Le groupe a participé à une première rencontre en vue de la préparation du plan d’affaires. L’Université de Sudbury tient à souligner la participation de Maître Ronald Caza, avocat et constitutionnaliste, qui a mené la bataille juridique de l’Hôpital Montfort d’Ottawa.
« L’Université de Sudbury tient à exprimer sa reconnaissance aux membres de la communauté, aux organismes franco-ontariens, aux étudiants, aux professeurs et aux élus qui ont témoigné leur appui au projet de l’université de langue française, en particulier la Coalition nord-ontarienne pour une université francophone, l’Association canadienne-française de l’Ontario (ACFO) du grand Sudbury et l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO). Les efforts collectifs que nous déployons en cette période de transition visent la création d’une université de langue française de sorte que les Franco-Ontariens et les Franco-Ontariennes pourront avoir accès à un système complet d’enseignement en langue française du préscolaire à l’universitaire », affirme le président du Conseil des régents de l’Université de Sudbury, Pierre Riopel.
Selon le président de l’AFO, Carol Jolin : « C’est avec beaucoup d’enthousiasme que l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO) accueille ces nouvelles. Nous sommes heureux que le travail se poursuive avec l’Université et le groupe de travail. Finaliser ce plan d’affaires très prochainement est également une étape importante qui guidera l’institution dans ses demandes auprès des gouvernements au cours des prochaines semaines. Après l’Université de l’Ontario français et l’Université de Hearst, la transformation de l’Université de Sudbury en établissement gouverné par, pour et avec les francophones est la prochaine étape qui s’impose pour assurer la formation postsecondaire en français en Ontario. »
« Nous saluons la préparation de ce plan d’affaires essentiel à l’avènement d’une université de langue française pour le Moyen-Nord. Nous sommes d’avis aussi que Queen’s Park devrait mettre sur pied une commission de mise en œuvre chargée d’étudier en profondeur la structure de l’éducation universitaire de langue française dans le Nord et de formuler des recommandations à l’égard de la programmation de l’université de langue française du Moyen-Nord » explique le porte-parole de la Coalition nord-ontarienne pour une université francophone, Denis Constantineau.
Membres du comité de travail de l’Université de Sudbury:
● Gisèle Chrétien, présidente du Collège Boréal de 1999 à 2006
● Donald Dennie, professeur émérite en sociologie à l’Université Laurentienne
● Denis Constantineau, directeur général du Centre de santé du Grand Sudbury et porte-parole de la Coalition nord-ontarienne pour une université francophone (Coalition)
● Me Edmond Paquette, avocat et vice-président du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Joanne Gervais, directrice générale de l’ACFO du grand Sudbury et membre de la Coalition
● Kornel Zathureczky, professeur et membre du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Mohammed El-Mendri, membre étudiant du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Pierre Riopel, président du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Me Ronald Caza, avocat-associé à Caza Saikaley
Personnes-ressources:
● Me André Claude, conseiller juridique de l’Université de Sudbury
● Bryan Michaud, analyste politique de l’AFO
● Peter Hominuk, directeur général de l’AFO
● Me Charlotte Servant L’Heureux, avocate à Juristes Power
-30-
Renseignements :
Marianne Denis-Séguin
Agente des communications, Université de Sudbury
mdenis3@usudbury.ca
Afin de mettre en œuvre la résolution adoptée à l’unanimité le 11 mars dernier pour amorcer le processus de transition, le Conseil des régents de l’Université de Sudbury a procédé à la mise sur pied d’un comité ad hoc pour la création de l’université de langue française.
Depuis, le comité ad hoc a retenu les services de la firme d’experts conseil PGF, qui se spécialise dans la gouvernance scolaire et postsecondaire, afin de dresser et formaliser un plan d’affaires. Ce plan sera un élément essentiel de la proposition que l’Université de Sudbury développera et soumettra au ministère des Collèges et Universités de l’Ontario afin de se transformer en université gouvernée par, pour et avec les Franco-Ontariennes et les Franco-Ontariens.
De plus, le comité ad hoc pour l’université de langue française a formé un groupe de travail en rassemblant des chefs de file de la communauté reconnus pour leur expertise et leur sagesse. Le groupe a participé à une première rencontre en vue de la préparation du plan d’affaires. L’Université de Sudbury tient à souligner la participation de Maître Ronald Caza, avocat et constitutionnaliste, qui a mené la bataille juridique de l’Hôpital Montfort d’Ottawa.
« L’Université de Sudbury tient à exprimer sa reconnaissance aux membres de la communauté, aux organismes franco-ontariens, aux étudiants, aux professeurs et aux élus qui ont témoigné leur appui au projet de l’université de langue française, en particulier la Coalition nord-ontarienne pour une université francophone, l’Association canadienne-française de l’Ontario (ACFO) du grand Sudbury et l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO). Les efforts collectifs que nous déployons en cette période de transition visent la création d’une université de langue française de sorte que les Franco-Ontariens et les Franco-Ontariennes pourront avoir accès à un système complet d’enseignement en langue française du préscolaire à l’universitaire », affirme le président du Conseil des régents de l’Université de Sudbury, Pierre Riopel.
Selon le président de l’AFO, Carol Jolin : « C’est avec beaucoup d’enthousiasme que l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO) accueille ces nouvelles. Nous sommes heureux que le travail se poursuive avec l’Université et le groupe de travail. Finaliser ce plan d’affaires très prochainement est également une étape importante qui guidera l’institution dans ses demandes auprès des gouvernements au cours des prochaines semaines. Après l’Université de l’Ontario français et l’Université de Hearst, la transformation de l’Université de Sudbury en établissement gouverné par, pour et avec les francophones est la prochaine étape qui s’impose pour assurer la formation postsecondaire en français en Ontario. »
« Nous saluons la préparation de ce plan d’affaires essentiel à l’avènement d’une université de langue française pour le Moyen-Nord. Nous sommes d’avis aussi que Queen’s Park devrait mettre sur pied une commission de mise en œuvre chargée d’étudier en profondeur la structure de l’éducation universitaire de langue française dans le Nord et de formuler des recommandations à l’égard de la programmation de l’université de langue française du Moyen-Nord » explique le porte-parole de la Coalition nord-ontarienne pour une université francophone, Denis Constantineau.
Membres du comité de travail de l’Université de Sudbury:
● Gisèle Chrétien, présidente du Collège Boréal de 1999 à 2006
● Donald Dennie, professeur émérite en sociologie à l’Université Laurentienne
● Denis Constantineau, directeur général du Centre de santé du Grand Sudbury et porte-parole de la Coalition nord-ontarienne pour une université francophone (Coalition)
● Me Edmond Paquette, avocat et vice-président du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Joanne Gervais, directrice générale de l’ACFO du grand Sudbury et membre de la Coalition
● Kornel Zathureczky, professeur et membre du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Mohammed El-Mendri, membre étudiant du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Pierre Riopel, président du Conseil des régents de l’Université de Sudbury
● Me Ronald Caza, avocat-associé à Caza Saikaley
Personnes-ressources:
● Me André Claude, conseiller juridique de l’Université de Sudbury
● Bryan Michaud, analyste politique de l’AFO
● Peter Hominuk, directeur général de l’AFO
● Me Charlotte Servant L’Heureux, avocate à Juristes Power
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Renseignements :
Marianne Denis-Séguin
Agente des communications, Université de Sudbury
mdenis3@usudbury.ca